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Dans
le monde où nous nous engageons, qui a perdu à peu
près toute certitude sur ce qui la construit, et qui
doute sur ce qui le construira demain, où peut-être
le détruira, le théâtre a plus que jamais sa
place.
Pépé Polak trouve cette place, non pas parce quil
se présente comme un théâtre « sans prétention
» (ce qui suggérerait quil exclurait toute relation
autre que la reconnaissance), mais bien comme un théâtre
public, posant ainsi universalisme et intemporalité de principe.
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